Le cas du sanglier en milieu périurbain

Carole Marin, vétérinaire, travaille à sa thèse pour l’heure intitulée « Sauvage en ville : le cas du sanglier bordelais ». Une « coproduction » de données avec la FDC33 qui compte bien en tirer des enseignements.

L’image a marqué l’opinion. Un sanglier abattu place de la République à Bordeaux, en plein centre-ville, en janvier 2015. Une preuve de plus que lapins, chevreuils, ragondins et surtout sangliers sont bien arrivés aux portes des villes dans la métropole bordelaise, occasionnant des dégâts de plus en plus importants sur les digues, dans les stades, golfs, parcs ou jardins et cultures maraîchères. Depuis plusieurs années, la fédération des chasseurs de la Gironde travaille sur cette problématique de la grande faune en milieu périurbain. Elle le fait désormais aux côtés de Carole Marin, vétérinaire qui prépare une thèse à la fac de Bordeaux, pour le moment intitulée « Sauvage en ville, le cas du sanglier bordelais ».

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