La recrudescence des dégâts, sur les semis de maïs principalement, rappelle aux chasseurs ce printemps qu’il ne faut pas baisser la garde face aux sangliers. Mais la prise de conscience de tous est bien réelle.
« L’effort des territoires est constant », souligne Maxence Ronchi, le directeur de la fédération. « L’été dernier, en raison de la sécheresse, les prélèvements furent plus difficiles en début de saison, mais les battues de mars ont compensé cette perte initiale ». 118 bracelets sangliers ont en effet été bouclés en mars soit 20 % du prélèvement annuel.